Avant 1855 au village, on prend l’eau à la fontaine placée devant l’église et alimentée par la source de Mortier dite Mère fontaine.
Deux bornes sont également placées à chaque extrémité du port. Le linge est nettoyé au lavoir et à l’abreuvoir principal, construits sur le quai des palangriers ainsi qu’à deux autres lavoirs plus petits : un à l’extrémité de la rue de la Prud’homie, l’autre à l’embouchure du vallat Daumas.
En 1855, un nouveau lavoir plus grand et plus beau, augmenté d’un abreuvoir, est érigé. Démoli en 1865, il est remplacé en 1867 par un nouvel ouvrage sur lequel on rajoute une toiture en 1891. C’est ce lavoir qui en 1927 est transféré près du cimetière. Son séchoir est réparé en 1981.
En 1867 Marius Michel, dit Michel Pacha, maire de la commune, commande au sculpteur Emile Adalbert deux fontaines allégoriques, l’une de l’Agriculture, l’autre de la Marine. Il mène aussi la construction du quai, pour éviter aux maisons d’avoir les pieds dans l’eau lors des « largades ».
En 1996, le lavoir alimenté par le vallat Daumas n’est plus guère utilisé. Une nouvelle vie lui est donnée par la municipalité qui décide de le restaurer et de le mettre en valeur dans les jardins Jean-Cavet, du nom du président du comité local de la Résistance et premier maire de la Libération.
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